“Cela va de groupuscules teintés politiquement, plutôt d’extrême droite, à un aréopage de mouvements complotistes. Des mécontentements et des indignations viennent aussi s’agréger autour de cette revendication, tout comme la mouvance anti-vaccins”, explique-t-il. Le spécialiste des cultures numériques note aussi la présence d’un discours “anti-science” ainsi que d’une “posture anti-Macron”: “c’est lui qui impose le masque, donc le masque est mauvais”.
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